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L’Oregon a trop de cannabis et deux lois peuvent aider à le gérer

L’Oregon est l’un des États les plus surproduits du pays, et l’industrie de la marijuana dans l’État de Beaver n’aide pas la situation. Il a plus qu’assez d’herbe et un surplus – mais personne ne sait comment le gérer. Il existe deux solutions potentielles. L’Oregon devrait envisager d’adopter le projet de loi 582 du Sénat, qui permettrait aux producteurs de cannabis de vendre aux consommateurs de tous les États. La loi actuelle interdit de tels échanges, mais de nombreux agriculteurs et extracteurs considèrent les ventes entre États comme une bretelle de sortie attrayante.

L’administration Newsom a un long chemin à parcourir en matière de taxation du cannabis, et certaines de ses initiatives n’ont pas réussi à atteindre les résultats qu’elles recherchaient. Plus tôt cette année, l’État a adopté une loi pour légaliser la marijuana médicale, mais sa structure fiscale est plus favorable aux entreprises. Mais l’État n’a pas été assez agressif pour réprimer le marché illicite, et le soutien de Newsom à la stabilisation du marché a ralenti. L’administration Newsom a opposé son veto à la priorité absolue de l’industrie l’année dernière – invoquant la nécessité de protéger les enfants contre l’exposition à la marijuana.

L’industrie du cannabis souhaite un large allégement fiscal pour ses activités. Les agriculteurs, par exemple, ont demandé la suspension des taxes de culture – une taxe qui a récemment augmenté à 10 dollars l’once – et le passage d’un taux forfaitaire à un prix en pourcentage. Et les titulaires d’une licence d’équité sociale ont demandé à cannabis au volant l’État de supprimer la taxe d’accise de 15 %, ce qui les aiderait à prendre pied sur le marché. Pendant ce temps, les régulateurs semblent donner la priorité au marché du cannabis existant, qui est dominé par des entreprises appartenant à des Blancs. Malgré leurs demandes, l’assistance a mis du temps à atteindre les bénéficiaires visés.

Ces deux étapes sont nécessaires pour protéger l’industrie de la marijuana de l’Oregon et contrôler le fardeau fiscal de l’industrie. Les deux étapes pourraient aboutir à un oligopole d’ici cinq à 10 ans, avec une chaîne dominant l’industrie de la vente au détail de mauvaises herbes de l’État. Pendant ce temps, permettre aux gouvernements locaux de taxer les ventes de cannabis réduira les coffres de l’État. Enfin, les consommateurs de marijuana sont “extrêmement avertis” et pourraient se tourner vers le marché illicite pour trouver de l’herbe moins chère.

John Plummer, fondateur de Bull Run Craft Cannabis, a été en prison pendant huit ans pour avoir cultivé de la marijuana sans permis. Après avoir purgé une peine pour des infractions liées au cannabis, il a commencé à demander une licence pour le cultiver à l’intérieur. En plus de poursuivre son rêve, il achetait du bois pour une opération temporaire extérieure et intérieure. Cela a conduit à deux nouvelles lois qui lui permettraient de vendre la récolte.

Si l’État peut adopter ces lois, davantage de producteurs de marijuana deviendront légaux. Mais beaucoup d’entre eux sont de petites exploitations, et même les petits agriculteurs ont besoin de la protection d’un ventilateur d’intérieur pour https://www.ministryofcannabis.com/fr/graines-cannabis-feminisees/ultra-white-amnesia-feminisees cultiver du cannabis. Si le marché se redresse enfin, les calculs du propriétaire pourraient devoir être révisés. Mais si le marché s’améliore, il espère recevoir un remboursement d’impôt. Mais même une récolte réduite semble être un risque.

Une solution pourrait être de mettre en place une taxe sur la marijuana à l’échelle de l’État. Mais avant qu’une loi ne soit votée, une étude de recherche doit être menée. Les résultats de cette étude devraient être publiés prochainement. Cependant, l’État travaille toujours sur ses lois sur la marijuana pour éviter un scénario de légalisation qui pourrait entraîner un important surplus de cannabis. En attendant, il est important de s’assurer que l’Oregon a suffisamment de lois pour l’industrie.

Les deux États prévoient d’utiliser les revenus de la marijuana de différentes manières. New York utilisera les revenus de la marijuana pour compenser la baisse de la consommation taxable de cigarettes. L’Oregon a également promulgué une loi sur la marijuana à des fins récréatives en 2014. En octobre, les détaillants sont tenus de facturer une taxe de vente au détail de 17 % sur les produits à base de marijuana. L’Oregon consacre 40 % des recettes fiscales sur la marijuana à l’éducation. Il n’y a aucun moyen de déterminer les recettes fiscales exactes, mais l’État prévoit de les utiliser à d’autres fins.

La légalisation de la marijuana est un moyen de faire face à cette offre excédentaire. Alors que de nombreux États ont légalisé la marijuana, la marijuana fédérale reste illégale. Sa classification est toujours l’annexe 1, ce qui signifie qu’elle est classée comme une drogue avec le même niveau de puissance que l’héroïne et la méthamphétamine. Un nouveau projet de loi de trois sénateurs démocrates américains, appelé Cannabis Administration and Opportunity Act, rendrait la marijuana légale au niveau fédéral et donnerait à la FDA le pouvoir de réglementer l’industrie et de financer des programmes de justice réparatrice.

Les revenus de la taxe sur la marijuana du Sénat sont actuellement détournés à d’autres fins, mais cela pourrait changer. La mesure 110 vise à financer le traitement de la toxicomanie en mettant les revenus de la taxe sur la marijuana à la disposition d’un plus grand nombre de programmes. Cela obligerait également l’Oregon Health Authority à créer des centres de récupération de la toxicomanie (ARC), qui seront disponibles 24 heures sur 24 à partir du 1er octobre 2021. Ce financement permettrait aux centres de traitement de la toxicomanie de fournir des services indispensables au public.